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Le gouvernement suédois offre près de 55 milles euros pour inciter les immigrants à quitter leur pays.

La crise des migrants a détruit le modèle scandinave suédois. La Suède autre fois ouverte, généreuse et altruistes vit le cauchemar. Le quartier de Rinkeby, près de la capitale, dans la commune de Järva, est un enfer à ciel ouvert.


Pas mois de 2 fusillades sont enregistrées à Stockholm chaque semaine
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Rinkeby l’une des nombreuses banlieues HLM suédoises, est essentiellement composée de migrants, pas une tête blonde à l’horizon. Pas de voitures luxueuses Contrairement à l’image qu’on se fait d’une ville scandinave, c’est un labyrinthe, une favélas , une vraie tour de Babel. D’autres l’appellent le couloir de la mort à cause de la fréquence des crimes enregistré dans la zone.

Rinkeby n’est pas la seule star du crime. La Suède compte déjà plusieurs ghettos. Chose qui était impossible avant l’arrivée massive des migrants. Les principaux ghettos se trouvent à la périphérie des métropoles : Stockholm, Göteborg, Malmö entre autres. Dans ces zones pas de suédois. Pas d’européens… si non des turcs


En 2015, les Suédois se voulaient exemplaires. Aujourd’hui le pays scandinave est victime de son bon cœur et prend des décisions d’urgence pour retrouver ses lettres de noblesse.


Le gouvernement et les Démocrates suédois continuent de faire avancer une proposition qui inciterait les immigrants à quitter la Suède.


L'aide au rapatriement sera considérablement augmentée, passant de 10 000 à 350 000 SEK selon la proposition. Une famille quittant la Suède devrait pouvoir recevoir jusqu'à 600 000 couronnes.


L’espoir est que les personnes qui ont immigré en tant que demandeurs d’asile et qui n’ont aucun revenu en Suède accepteront cette offre.


Malgré les critiques, le gouvernement et les Démocrates de Suède poursuivent leur politique de retour.


Une famille quittant la Suède devrait pouvoir recevoir 600 000 couronnes de subventions soit près de 55 milles euros.


Le pays dans lequel ils choisissent de déménager n’a pas d’importance car le choix du pays dans lequel la personne souhaite s’installer dépend plus ou moins de la personne elle-même.


Selon le gouvernement à part la sécurité, le fait que ces personnes vivent en Suède représente un énorme fardeau financier. Il s’agit donc également d’une mesure purement politique d’intégration.


Pour faire passer le message sur la possibilité d’un rapatriement, les agences pour l’emploi et les travailleurs sociaux devraient informer activement les immigrants.


Les opposants à cette mesure estiment que l'argent pourrait être utilisé à d'autres fins, comme par exemple pour augmenter les allocations de logement pour les familles avec enfants ou les allocations familiales.


D’autres pensent que c’est une politique qui montre que les immigrants sont présentés comme un problème. Cela risque de faire en sorte que les personnes qui vivent et travaillent ici depuis longtemps ne se sentent pas les bienvenues.

 
 
 

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